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arrivée à 21h00 le vendredi 15 mai 2009 à la Maison Familiale CFA de Saint Gilles Croix de Vie
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Le premier jour on s’est tous plaint d’avoir plus ou moins mal au niveau du fessier puis les jours à vélo ont eu lieu et plus personne ne s’est plaint car tout le monde souffre des fesses. Pendant tout le long de notre trajet nous avons eu un super temps avec beaucoup de soleil sauf lundi après midi en partant du Médoc en arrivant à Lacanau et jeudi matin en partant de Molliet et Maa jusqu'à Bayonne. Sinon nous avons tous plus ou moins bronzé certains ont même changé de couleur en passant du blanc au rouge.
Quand nous allons revenir à Saint Gilles nous seront presque tous éclopés d’un membre je vous fais une petite liste prenez le temps de la lire c’est important !!!
On commence avec la première chute à l’arrière du peloton en faisant un soleil magnifique par temps de pluie réalisé par Pierre Cossard, grâce à lui l’après midi a été ensoleillée.
Nicolas Cousseau : genou droit et côte gauche endommagée par un accident d’échafaudage jeudi avant de partir. Pas évident de pédaler quand on est déjà blessé.
Damien Poiron : genou gauche.
Thomas Landreau : genou droit et pied gauche (pour ce petit pied il a été endommagé 1 mois avant de partir par une fracture de fatigue)
Julien Tesson : genou gauche
Clément Robin : genou droit et deux doigts endormis depuis 3 jours
Guillaume Chaigne : courbature au quadriceps et deux doigts endormis
Nicolas Coutant : genou droit mais depuis longtemps il a mal et cette petite randonnée à vélo ne l’a pas arrangé
Julien Milcent : les deux genoux
Bruno Grafeille : genou gauche
Renaud Robe : genou droit avec un mal de nuque à cause du sac à eau la douleur est située au niveau de la 7ème lombaire il est un petit peu callé au niveau du corps humain
Jérôme Gouegoux : mal à la cuisse depuis le départ de Saint Gilles
David Messe : genou gauche grièvement blessé il ressemble à un coco de Pâques mais il n’est pas forcément bon à déguster
Christelle Mollé : mal du bras droit jusque dans le bas du dos
Anne-Lise Chataigner : mal au genou gauche tendon d’Achille droit et des petites ampoules sympathique pour l’accompagner ça l’aide pour voir dans la tente quand il fait nuit
Julien Petit : Mal au genou droit au niveau des ligaments mais trop fier pour admettre qu’il dérouille à bloc il est également blessé au cœur (déçu de ce dernier soir car souvent les gars sont mécontents, mais avec une bonne nuit de sommeil ça ira mieux demain (CŒUR SENSIBLE S’ABSTENIR)
Pour ceux qui ne sont pas dans la liste c’est qu’ils n’ont aucune autre blessure encore visible peut-être sont-ils des surhommes ?
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Nous avons mis 3 h 30 pour relier Bayonne/Dancharia. Il semblait difficile de reprendre les vélos le lendemain et puis la motivation n’était plus au rendez-vous. Nous savions la difficulté du parcours. Après réflexions et négociations, nous nous sommes organisés pour appeler une compagnie de taxis. On appréhendait tous que notre plan tombe à l’eau, c’est donc avec soulagement ce vendredi matin que nous avons vu 4 taxis débarqués à 10h10 au camping (avec 10 min de retard quand même). Il y avait 2 Mercedes classe E280, la classe ! A 12h01 nous sommes tous montés dans le train, maintenant c’est julien qui appréhende le changement à Bordeaux, pas facile la vie de formateur. (le retour c’est excellemment bien passé). Nous avons repris les vélos à la gare de Saint gilles pour faire <st1:metricconverter productid="2 km" w:st="on">2 km</st1:metricconverter>, notre arrivée était triomphante au CFA où nos familles et formateurs et collègues nous attendaient. Quel accueil !
On tient à remercier Bruno et Julien pour ce voyage fabuleux. Nous sommes très fiers d’avoir parcourus 580 bornes à vélos (qui l’eu cru ?). Nous revenons avec plein de souvenir en tête et de nostalgie dans le cœur. Nous avons parfois râlé car nous sommes des enfants gâtés sans se rendre compte du travail effectué pour nous (par eux). Merci, c’est quand qu’on va où ?
NB : Nous sommes contents d’avoir pu satisfaire Christian. En effet il a pris un malin plaisir à nous observer lorsque l’on franchissait le col.
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En partant de Molliet et Maa, il pleuvait. C’était une pluie froide accompagnée de rafales de vent. Heureusement, nous étions motivés, gonflés à bloc et personne ne se plaignait. Pendant notre trajet direction Bayonne, François notre invité a crevé et nous ne l’avons pas retrouvé.
A <st1:metricconverter productid="5 km" w:st="on">5 km</st1:metricconverter> de Bayonne, nous avons décidé de manger au chaud car nous avions tous très froid. Certains ont mangé Mc Do, d’autres ont mangé à la cafét’ de Casino et quelques courageux sont restés manger au camion (quelle bravoure !).
En approchant de Bayonne, nous avons eu un avant goût de ce qui nous attendait en fin de parcours, nous avions monté de belles côtes. Christian nous a guidé à merveille à travers la ville (grâce à son flair remarquable et un tout petit petit petit peu grâce à son GPS).
Lorsque nous sommes arrivés à Espelette, nous avons fait un arrêt pour demander notre chemin jusqu’à Ainhoa. Un conducteur de car nous a indiqué que c’etait plat jusqu’au col. Nous avons une vision différente de ce qu’est le plat.
Tout le monde a monté le col. Même les filles et sans poser le pied à terre. Une photo de famille a été prise devant le panneau de la ville d’Ainhoa. Par la suite il y a eu un vote pour savoir si on continuait jusqu’en Espagne. (Eh oui il y avait un intérêt commercial à ce voyage !). Nous avons demandé dans des boutiques d’Ainhoa si la frontière était encore loin et l’heure à laquelle les commerces fermaient, malheureusement nous arrivions trop tard. La déception était grande très grande pour certains.
Notre camping se situait à la frontière à Dancharia coté français. Nous avions juste un petit pont à traverser pour être en Espagne. Le cours d’eau s’appelait <st1:personname productid="la PITXOULI" w:st="on">la PITXOULI</st1:personname> (célèbre chanson de notre Patrick national – et hurlée durant les ferias de la région).
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Mr AVOINE ancien prof de la maison familiale pour les niveaux 4. Depuis le mois d’Octobre 2008 il est à la retraite.
Quand l’idée du voyage d’étude à été accepté. Nous avons été obligés d’avoir un véhicule pour une question de sécurité.
Nous lui avons soumis l’idée et il a accepté avec grand plaisir.
Il réussit sont nouveau travaille de conducteur merveilleusement bien. C’est un rangeur né, car il n’y a que lui qui range le fourgon, il aime l’ordre.
Quand nous sommes montés à la dune du Pyla, Christian est monté avec nous et à la grande surprise de tout le monde il perd les clefs du fourgon, mais heureusement il lés retrouve avec son super flair.
Nous le remercions tous énormément. BRAVO A LUI !!!
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